Monday, March 24, 2008

Sculpture, style architexture



...l'objet est signalé






Vernissage demain 16h heures tappantes

Vernis Sage au ras du 5", rue Ste-Catherine, le National, Montréal - durant l'assemblée générale de l'Association Facultaire des Étudiants en Arts de l'UQÀM.

On constatera en effet un certain relief topographique au sein de l'instant d'obersavation, la nomenclature retiendra son souffle.


Sculpture, style architexture.
ou le happening invisible, style - u n d e r g r o u n d -

Saturday, March 22, 2008

Étude

Étude pour fond d'horizon blanc
















Structure, certe, mais modulatoire et peut-être sonore.
Étude minimaliste, hommage à Donald Judd, tissu matériel, questions sur la forme.

Tuesday, March 18, 2008

Le tangible et l'illusion [ version : subjectif ]

Si la toile est un médium particulier, la voici qui se met en image, figurée et déconstruite. Sur fond d'ouverture ou de profondeur abstraite, le dessin illusoire s'impose comme problématique, mais aussi comme guide.

L'arrière plan de cette forme, plus ou moins figurative, est ici affirmé comme objet. L'objet est artifice, vernis, pris au sérieux.

Cependant, à part entière, il agit aussi comme profondeur illusoire et écran paranoïaque artificiel auquel le dessin, superposé, vient créer un détachement avec l'approche contemplative. L'introduction de la perspective vient d'abord déstabiliser la planéité matérielle de la toile pour ensuite évoquer un discours sur la troisième dimension.

Cette dimension, figurative, évoque le langage plastique d'une toile blanche et incite également à l'illusion d'une forme post-minimaliste. Outre les lignes obliques qui accusent la perspective, le cercle noir au centre de la figure blanche représente un élément important figurant comme "trou" dans la surface. Ce dernier n'a recours qu' à une simple illusion d'optique, complète, créée par la bidimensionnalité. Cette problématique de la troisième dimension picturale peut éventuellement faire référence à notre propre environnement concret. Ce serait par le concept de l'idée que la forme s'inscrit dans l'espace qu'occupe l'objet-artifice vernis et sérieux.

D'une facture ébauchée, les traces blanches qui s'échappent de la forme exposent leur propre matérialitée, liant l'illusion à la réalité. De la scène à la mise en scène.

Tout ce rapport avec l'image devient toutefois dénaturé dans le cadre de l'image cybernétique. Faisant face à une représentation numérique, l'approche de l'objet se transforme, celui-ci étant devenu une image qui devient elle-même une idée*.

Cette idée occupe-t-elle un espace tangible?
Ou ne retroune-t-elle pas d'où elle est né, dans l'imaginaire.


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* Kosuth, "Art After Philosophy" l'art conceptuel, une perspective, catalogue d'exposition, Paris, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, 1989, p.236-241


Monday, March 17, 2008

( In situ ) de l'image.


Structures, toujours, mais aussi épopée automatiste. Vue par un cyclope, Claude Gauvreau en l'occurence, la matière est maitresse, la forme est matière.


La bidimentionalité est aussi à l'épreuve, revenant un peu en arrière dans le temps, démystifiant un certain art abstrait. En parrallèle, dans une pratique éphémère, en transformation, la mise en marche d'un questionnement sur l'urbanité dans un contexte d'imaginaire, individuel et collectif, s'inscrit dans une optique d'accessibilitée à la pédagogie artistique. Si l'on prend l'exemple de Ciudad - Anomalie de ville, les couleurs primaires servent d'introduction à l'oeil furtif qui, par la suite, s'imbrique à l'image et son contexte.

"C'est comme un in situ de l'image."

L'oeuvre est présentement dans une collection privée.

Sunday, March 16, 2008

Structures


Effet de tergiversation spontanée, lignes acrobates, édification au sein de l'étrange. Les éclairages aux teintes de réverbérations, inconnues ou nébuleuses, convient l'observateur à une comparaison entre les idées matérielles de la surface plane, évoqués chez les immortels modernistes, et le concept d'urbanité, dans sa propre perspective.















Les connections qui peuvent émerger.
Aborder la poésie, la photographie, l'installation, la peiNTuRe, sculpture, le cinéma, la vidéo et le théâtre;

On déclenche une série de questionnement

Prenant racines dans les enjeux culturels et sociaux qui cultivent les différents lieux abordés par l'humain.

Les structures, par exemple en peinture,
Feront non seulement office de pédagogie plastique,
problématisant et exposant à l'observateur la matière et la surface,

Mais seront également des lieux,

créés à l'image de constructions contemporaines, dans leur essence,
Dans leur naissance, c'est-à-dire dans la forme du prisme: Rectangulaire, percé par des "yeux" Ou des trous
Qui laissent appercevoir le fond (brut-naturel-fondamental-existenciel) de la toile.

Les constructions qui ponctuent l'imaginaire, Pictural ou réel, exercent non seulement une ambiguïté dimensionnelle,

Mais aussi une présence U R B A I N E sur décor surréel.


D'emblée, la dichotomie, entre réel et imaginaire, s'impose.